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Entre technologie et marketing

Mes centres d’intérêt sont larges et interdisciplinaires. Ils trouvent leurs racines dans le marketing digital et le commerce électronique, pour s’étendre à la transformation digitale des entreprises et aux stratégies qu’elles déploient dans ce domaine. Cela inclut la mise en œuvre des activités numériques par les entreprises (web, applications, réseaux sociaux, publicité, etc.), les innovations et les outils spécialisés (martech), leur adoption par les consommateur·trices, et leur évolution (intelligence artificielle, web 3, métavers).

J’ajoute que mon travail et mes échanges encore réguliers avec la professeure Solange Ghernaouti entretiennent aussi chez moi un vif intérêt pour les questions liées à la sécurité informatique, à ses dérives et aux enjeux sociétaux du numérique.

Des secteurs en particulier

Expérience professionnelle et intérêts personnels obligent, certains secteurs m’intéressent en particulier, sous l’angle de leur transformation numérique :

  • le secteur du luxe et de l’horlogerie,
  • le domaine de l’art, des artistes aux collections en passant par les acteurs du marché de l’art,
  • le monde de l’économie sociale et solidaire (ESS).

La question centrale de la durabilité

Cet ensemble de domaines m’intéresse aujourd’hui sous l’angle de la durabilité et de la décroissance, compte tenu du désastre environnemental qu’une partie de l’humanité — à laquelle j’appartiens — a créé et de ses conséquences écocidaires et anthropocidaires que nous avons trop longtemps feint d’ignorer. Dans un tel contexte, comment envisager le futur du marketing en général, et du marketing digital en particulier ?

Je n’ai pas le courage de rejoindre les rangs de Scientist Rebellion, mais je soutiens leur engagement pour cette cause aussi urgente que juste.